Face à un marché mondial gigantesque dans lequel la Guadeloupe représente moins d’un pour-cent. L’enjeu pour Gardel est d’offrir à ses clients et consommateurs un sucre spécifique et unique, à la qualité constante et irréprochable. Ainsi les équipes Gardel, s’attelle a produire avec excellence ce sucre.
L’usine démarre tout doucement avec une production de 550 tonnes seulement. À l’époque, on l’appelait « Lagardelle » mais très vite le nom est devenu Gardel qu’on connaît aujourd’hui.
Le déclin de l’industrie sucrière guadeloupéenne dans les années 1970-1980 a été un choc. Beaucoup d’usines ont dû fermer, elles étaient 10 en 1967 et seulement 4 en 1981.
Le déclin de l’industrie sucrière se poursuit dans les années 70. En 1974, l’usine Sainte-Marthe doit fermer ses portes. Désormais, toute la production se concentre sur le site de Gardel. C’est à ce moment qu’Amédée Huyghes Despointes investit pour moderniser l’outil industriel. La capacité de broyage passe à 2800 tonnes par jour.
Les moulins à vapeur sont convertis en moulins électriques. L’usine passe d’une gestion manuelle à une gestion automatique par ordinateur.